Imaginez que vous êtes en train de prendre votre petit déjeuner, pensant à votre dure journée de travail qui se pointe. Vous vous dites « qui suis-je pour oser changer de vie ? ». Pourtant, vous aimeriez décrocher ce travail qui vous fait envie, d’être plus libre, de dépasser vos peurs.
Rien n’y fait, vous ne vous sentez pas légitime. Qui n’a jamais ressenti la peur d’aller dans le grand bain ? Tout le monde ressent cette peur ! La bonne nouvelle est qu’il existe des moyens pour oser. Vous êtes autant capable que les meilleurs. Il faut apprendre à utiliser ce qui fonctionne. Je vous invite donc à découvrir quelques-uns de ces outils.
Vous allez apprendre à connaître vos motivations, dépasser vos angoisses et vos peurs. Puis, à passer à l’action. Oser et agir pour changer de vie n’est pas un rêve. C’est une réalité.
Connaître vos motivations
Dans la vie personnelle ou professionnelle, qu’est-ce qui vous motive ? C’est une question cruciale à laquelle il faut être clair et transparent avoir soi-même. Pour y répondre, il ne faut pas s’imposer la moindre limite. Ni de s’encombrer de pensées parasites. Martin Luther King a-t-il dû se forcer pour faire son discours « I have a dream » ? Non, il était motivé avec un feu intérieur. Il est sain de s’inspirer, mais c’est toxique de ne pas vivre en accord avec soi. Il ne faut pas hésiter à tester des choses pour affiner la connaissance de ses propres motivations.
Qui suis-je ?
Apprendre à se connaître se passe tous les jours. Avez-vous peur d’avancer et d’oser le changement parce que vous pensez avoir des limites ? Les limitations ne sont que dans la tête. Votre ordinateur central, appelé « cerveau », a installé des tas des logiciels au cours de votre vie. Il suffit de désinstaller ceux qui vous limitent. Balayez vos croyances limitantes. Pour en savoir plus sur le sujet des croyances limitantes, je vous invite à lire l’article correspondant.
Ne réinstallez pas un nouveau système d’exploitation. Votre mental d’aujourd’hui suffit à changer de vie. Ce sont certains paramètres à ajuster pour avoir une meilleure maîtrise des émotions. Sachez simplement qui vous êtes aujourd’hui. Peu importe les différences avec votre entourage ou ce que le monde exprime sur les réseaux sociaux ou la télévision. Oubliez les normes et exprimez votre individualité. Prenez autant de temps que nécessaire, car ce n’est pas facile de savoir qui nous sommes vraiment.
Ce qui vous pousse vraiment
Vous subissez de la lassitude au quotidien ? Alors le changement s’impose de lui-même. Identifiez vos rêves, notez-les et trouvez le sens de votre vie. La vie est trop courte et le temps ne se met pas en banque. Ça ne veut pas dire qu’il faut se dépêcher ni se mettre la pression. J’ai moi-même eu beaucoup de mal à connaître mes motivations. Ai-je des regrets ? Bien sûr que non ! Les moments de doutes servent à affiner la connaissance de soi. Et vous êtes en train de le faire en ce moment même.
Réfléchissez à ce qui vous pousse sans forcer. Quand êtes-vous épanoui ?
Faut-il fantasmer ?
Le fantasme c’est de percevoir tous les avantages sans assumer ou ne pas voir les inconvénients. La vie n’est pas une fantaisie où tout est beau, tout est rose. Si le changement de vie fait si peur et peu de personnes osent, c’est qu’il y a une raison. De la souffrance, il y en aura probablement, je ne vais pas vous vendre une vie sans peur. Mais vous pouvez transformer la perception de la peur. Nous y reviendrons.
Vous devez équilibrer vos perceptions. Quand vous décidez de changer de vie, voyez les avantages et les inconvénients d’y aller et de stagner. Soyez honnête. Vous pouvez mettre des coefficients dans votre liste, car certains avantages ne se valent pas.
Détruire vos angoisses
Ce qui vous bloque le plus, c’est certainement la peur, l’angoisse, le stress, l’anxiété. Combien de fois avez-vous eu peur et combien de fois vous êtes-vous dit « ce n’était pas si terrible que ça en fait » ? À l’enfance, nous avons eu peur de retirer les deux roues qui soutiennent le vélo.
Nous avons eu peur de sauter à la piscine, d’aborder cette fille ou ce garçon, de nous « taper la honte » au sport, etc. Vous avez eu des peurs, les gens ont tous des peurs, j’ai eu mes peurs. Et nous sommes tous là, après avoir survécu à toutes ces peurs.
Dépasser les blocages et les contraintes va demander une certaine maîtrise de soi.
Identifier vos peurs
Vous devez savoir ce qui vous bloque aujourd’hui. C’est quoi, le pire du pire ? Votre entourage vous dicte-t-il votre chemin de vie ? Si vous souhaitez vraiment changer de vie, est-ce que l’avis des autres est vraiment important ? Famille, amis, inconnus, peu importe. Il l’est certainement, mais il ne doit jamais prendre plus que 50 % de votre décision définitive.
Pour sortir de votre zone de confort et donc, dépassez vos angoisses, identifiez ce qui vous bloque. Vous ne percevez certainement que les inconvénients sans les avantages. Exactement comme un fantasme, mais de façon inversée. La prise de parole vous fait-elle peur ? C’est parce que vous percevez la honte future que la prise de parole pourrait provoquer. Sans percevoir tous les bénéfices. Comme avoir eu le courage, et peut-être, le fait d’inspirer votre auditoire. Identifiez soigneusement ce qui vous fait peur sans attendre.
Pas de risques inconsidérés
C’est normal d’avoir peur si l’on pense ne pas pouvoir retourner en arrière. Vous pouvez tout à fait appliquer une période d’essai. Sans brûler les navires derrière vous. Si vous êtes salarié et que vous souhaitez devenir entrepreneur, qu’est-ce qui vous empêche d’essayer votre idée sans quitter votre job ? C’est peut-être une question de temps et d’organisation. Mais la peur n’a plus lieu d’être.
Nourrir son besoin de sécurité
Avoir une situation stable permet de nourrir son besoin de sécurité. Ne vous laissez pas contraindre par les finances. L’argent corrompt les projets. Certaines personnes aiment le risque, ça les motive. Je ne vous recommande pas cette stratégie si vous n’osez pas changer de vie.
Si vous avez en valeur haute la famille par exemple, vous devez en avoir conscience. Vos angoisses seront nourries si vous ne sentez pas votre famille et vos enfants en sécurité. Saisissez les opportunités de changer de vie, seulement si ça ne brise pas votre besoin de sécurité. Sachez bien sûr nuancer les opposés. Car du risque, il y en aura quand on se lance. Et pour limiter les émotions désagréables, nourrissez votre besoin de sécurité.
Passer à l’action
93% des Français ont déjà songé à faire une reconversion. Pour 38% qui sont passés à l’action, selon une étude de nouvelleviepro.fr sur un échantillon de 2083 actif. Ce qui pose problème, c’est donc le passage à l’action. C’est une question de mentale. Ne pensez pas que ce soit une question de courage, de force, de don, de privilèges… Tout le monde peut passer à l’action.
Vous souhaitez vous bouger une bonne fois pour toutes ? Vous en avez marre de procrastiner ? Moi aussi, j’ai donc mis en place des actions concrètes. Je n’ai pas juste espéré que le temps passe et que ça s’arrange. Le développement personnel m’a aidé à y croire, à agir et il vous aidera aussi.
Trouver l’essentiel
Vous savez maintenant ce qui vous motive et ce qui vous fait peur. Maintenant, mettez en place un projet clair et précis. Le but ultime que vous souhaitez atteindre. Que ce soit changer de travail, acheter une maison, devenir violoniste, devenir président de la République, avoir un corps d’athlète… décidez le but. Il est angoissant de passer à l’action quand quelque chose est flou. Le but ultime est encore flou. Vous allez maintenant le découper.
Quelles compétences vous faut-il acquérir ? Mettez en place du temps pour obtenir ces compétences. Ensuite, trouver l’essentiel de l’essentiel. Avant de changer de travail, que dois-je faire? Puis, trouvez l’essentiel de l’essentiel de l’essentiel, vous avez compris l’idée. Découper l’objectif pour qu’il ne reste plus que des tâches très claires à effectuer. C’est déjà beaucoup plus abordable que juste « acheter une maison ».
S’organiser
Il est difficile de déployer de l’énergie si elle n’est pas concentrée. Planifiez vos journées de la façon la plus simple qui soit. Vous avez identifié vos tâches essentielles, effectuez les en priorité. Chaque jour, sans excuse. La discipline demande de la volonté, mais la régularité créée des habitudes. Les habitudes ne consomment pratiquement pas de volonté. Soyez donc le plus régulier possible. Pas besoin de se fouetter en cas de baisse de rythme. Tombez puis relevez-vous et reprenez la route.
Il sera bien plus simple pour vous de passer à l’action quand vous savez déjà ce que vous allez faire à l’avance.
Accepter le changement
Passer par l’étape « je vais devenir une nouvelle personne » peut être difficile. Cela va apporter un nouveau lot de problèmes. Les soucis ne s’arrêtent jamais, ils sont juste différents. S’il vous plaît, acceptez cette réalité. Vous débloquerez votre esprit pour accueillir le changement. Cela vous poussera à oser et agir.
La question ultime
Quelle est la chose essentielle que je peux faire de telle sorte qu’en la faisant tout le reste deviendra simple, voire inutile ? Tiré du livre The one thing, passez à l’essentiel de Gary Keller et Jay Papasan. Notez cette question, encadrez-la sur vos murs, notez-la partout. Posez-vous cette question tous les jours, sans exception. L’être humain est programmé pour répondre aux questions et donc de passer à l’action avec la question ultime.
Prenez du plaisir
Ne pas se prendre au sérieux, ok ? Vous serez tous d’accord avec moi qu’on finit toujours par craquer quand on tire sur la corde. Ne fantasmez pas sur des Elon Musk ou Jeff Bezos, eux aussi prennent du plaisir. Soit dans le travail, soit dans le divertissement. Évitez la culpabilité quand vous prenez du plaisir en dehors de vos projets, vous le méritez ;).
Adopter un nouvel état d’esprit
Pour vous transformer, changez votre état d’esprit. Explorez et affinez les possibilités de votre mental. Faites entrer tout ce que vous venez d’apprendre dans cet article pour l’intégrer au quotidien. Revenez-y dès que c’est nécessaire. Si vous souhaitez un changement radical dans votre vie, le changement se doit d’être radical. Mais pas forcément rapide. Vous me suivez ? Ne pensez pas aux résultats rapides, pensez aux étapes intermédiaires à effectuer (voir « trouver l’essentiel » un peu plus haut).
Cristallisez vos changements avec des habitudes fortes. Quand vous aurez osé changer de vie, vous ne vous souviendrez même plus de ce moment du déclic. Vous serez déjà en train de changer de vie et d’agir chaque jour pour vos rêves. Vous pouvez aller voir cet article complémentaire sur l’état d’esprit.
Conclusion
Énormément de personnes cherchent à changer de vie et très peu agissent. J’espère que cet article vous aura aidé à y voir plus clair et à vous mettre la graine du changement dans votre mental.
Pour oser changer de vie, prenez conscience de vos motivations. Détruisez vos angoisses avec les conseils vus précédemment. Puis, passez à l’action en identifiant les tâches essentielles pour ne pas s’éparpiller.
Je suis sûr que chaque lecteur en est capable. Vous qui lisez, vous êtes capables. Alors, osez, foncez et ne vous arrêtez pas 🙂
Je vous invite à partager en commentaire qu’elles sont vos peurs qui persistent le plus et qu’est ce qui vous empêche d’oser changer de vie. S’entraider est un excellent moyen pour débloquer le mental.
Merci pour toutes ces pistes de réflexion ! On est souvent prisonniers de nos pensées… Prendre le temps de tout poser à plat pour regarder les choses de manière plus objective peut vraiment aider à oser se lancer avec moins de chance de se planter 😉
Nous sommes prisonniers de nos pensées en effet si nous n’en avons pas conscience. La maîtrise du mental commence par là. Prendre conscience, casser les verrous, reprendre le contrôle. Et prendre le temps de tout poser à plat, c’est un moyen simple et concret pour activer le processus de contrôle.
Content d’avoir pu t’apporter des pistes. Merci pour ton commentaire 🙂
Salut David,
J’ai été choqué par le ratio entre les 93% de français qui ont songés à une reconversion pro, et les 38% qui l’ont fait…
Seulement environs 1/3 passent à l’action…j’aurais pensé bcp plus.
Après, malheureusement, je les comprend.
Je suis comme ça aussi, à avoir peur, bon, de moins en moins…mais quand même.
Le plus dur c’est d’arriver à ouvrir les vannes et s’autoriser à être soi même.
a+
Benoit
Salut Benoit.
En effet, le nombre de personnes qui souhaitent un changement, est hyper élevé. Ceux qui passent à l’action l’est beaucoup moins. C’est très bien d’agir déjà, d’avoir peur et de le faire quand même.
Je souhaite à tout le monde de s’autoriser à être soi et d’agir en étant aligné. J’espère que ce blog permet d’aider dans ce sens. Merci pour ton commentaire !
Au plaisir 🙂
Bonjour David,
Tu as raison, la définition de l’objectif est vraiment très importante ! Mon formateur disait souvent (même si c’est dans un autre contexte) « Objectif flou, connerie précise » et Sénèque disait « Il n’est pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va »… donc forcément, avoir une direction, ça va quand même beaucoup aider 🙂
Et sinon, par expérience, pour m’être lancée il n’y a pas longtemps… avoir en tête son « Pourquoi » et être entouré un minimum c’est indispensable et ça permet d’aller au-delà de sa zone de confort très fréquemment !
Pour ma part, j’ai franchis le pas car j’avais la possibilité de retrouver mon ancien travail si je le souhaitais mais les décisions politiques actuelles pourraient brûler ce filet de sécurité.
Dernier point, j’ai publié le résultat d’un événement inter-blogueurs sur « comment rebondir après un échec ? » si ça intéresse, je peux poster le lien ici pour aider ceux qui ont peur d’agir ou de faire…
Bonjour Caro,
J’aime beaucoup les citations que tu partages. Connaître son pourquoi c’est vraiment la base. L’entourage se doit d’être le plus positif possible. Un entourage trop dans le négatif peut bloquer.
Tu peux poster ton article, j’ai été le voir, ça peut être une ressource supplémentaire pour les personnes ayant peur de l’échec 😉
Merci à toi.
Merci pour ta communauté et pour les blogueurs qui ont participé à cet événement : https://mieuxetreaunaturel.fr/comment-rebondir-apres-un-echec/
J’espère que ça pourra aider un maximum de monde 🙂
Salut ! 🙂
Alors pour ma part, j’ai une situation assez sympa. Je suis assimilé fonctionnaire et je travaille de nuit et en déplacement. cette place je l’ai eu sur concours pour finir.
La peur que j’ai c’est de devoir revendre mon appart’ perdre mon job stable et qui paye pas trop mal de part les nuits et les déplacement. Tout ça pour peut être revenir dans 6mois parce que je n’y arrive pas voilà voilà ^^
Salut Nicolas 🙂
Super l’analyse de tes peurs ! Ton partage va aider les personnes à pouvoir identifier les leurs. Maintenant que tu connais tes peurs, tu peux approfondir en confrontant les opposés.
Par exemple : C’est quoi les avantages de devoir revendre ton appart ?
– Pouvoir découvrir un nouvel endroit ?
– S’améliorer en négociation pour le prochain logement
– Décorer une nouvelle maison
– Faire de nouvelles rencontres
– Nouvel environnement
– Challenge
Et qu’elles sont les inconvénients de rester dans ton logement ?
– Rester dans la zone de confort
– Voir toujours la même chose
– La routine
À toi de faire le travail personnellement pour rééquilibrer tes pensées. Tu vois, le but c’est de programmer ton mental pour qu’il ne soit pas dans l’enthousiasme ni dans la peur. Évidemment, il y a des avantages à rester dans ton logement, des inconvénients à le quitter. Mais la peur, c’est de ne pas cet équilibre dans les avantages et les inconvénients de devoir le quitter.
Tu comprends ? Il ne faut pas souhaiter que ça arrive, c’est juste que toi si tu fais cet exercice, tu seras équilibré quoi qu’il arrive.
C’est pareil pour ton job. Je donne encore un exemple :
Les avantages de perdre ton job :
– Devoir sortir de ta zone de confort
– Être stimulé pour en trouver un nouveau
– Avoir du stress mais évoluer personnellement
– Casser la routine
– Trouver un nouveau travail qui rémunère mieux
Les inconvénients de rester dans ton job :
– La routine
– Stabilité = stagnation personnelle
– Plus envie d’évoluer car situation confortable
– Manque d’épanouissement
– Travail pour le rêve d’un autre (le patron)
– Culpabilité de ne pas agir
Et ces deux listes ne sont que des échantillons. Encore une fois, le but est d’équilibrer la pensées, pas de penser au pire. C’est programmer ton cerveau pour que qu’il arrive, tu ne soit pas paralyser et que tu fonces. Vu que tu programmes ton inconscient, que de toute façon, quoi qu’il arrive, tu seras gagnant. À ce moment là, tu te lâches, tu te donne à fond.
La peur, est une perception étonnée de la réalité. Le cerveau n’est pas capable de prendre l’ensemble des données consciemment. D’où les émotions qui donnent un signal, qui faut écouter. Mais le comprendre, c’est beaucoup plus difficile. Tu peux avoir un travail d’approfondissement avec l’aide d’un coach. Et je ne parle pas de moi car je ne le suis pas.
Je ne connais pas ta situation donc tu pourras vraiment approfondir de façon personnalisé.
Un grand merci pour ton partage, n’hésite à faire un retour ici ou par mail si tu souhaites approfondir la question 🙂
‘Les moments de doutes servent à affiner la connaissance de soi. Et vous êtes en train de le faire en ce moment même.’Comme ta phrase me parle ! Peut-être avons-nous vraiment besoin de tous ces moments pour nous améliorer, nous comprendre, nous améliorer jusqu’à devenir la meilleure version de nous-mêmes et continuer à poursuivre nos rêves. Merci pour cet article !
Oui en faite, c’est la société qui met une connotation négative sur les moments de doutes. Certaines personnes aiment ces moments car ils savent que ça va les améliorer. Sont-ils différents ? Ils utilisent leurs cerveau différemment, c’est tout.
Le carte n’est pas le territoire. Nos perceptions ne sont pas la réalité.
Ça ne veut pas dire qu’il faut chercher le doute. Mais, quand il arrive, cassons nos automatismes et profitons-en pour évoluer.
Je te remercie de ton commentaire 🙂
C’est exactement ça !
Merci pour ce guide pas à pas : j’aurais bien voulu l’avoir il y a quelques années, quand je cherchais ma route, de manière parfois assez douloureuse !
J’ai fini par changer de vie du tout au tout en quelques mois : vie pro, vie perso, changement familial énorme, lieu de vie et lieu de travail…. J’avais tellement erré partout (à me cogner contre les murs comme une balle de ping pong dans une boite) que je savais ce que je voulais et ne voulais plus, le passage à l’action a été direct, musclé… un essorage à 1400 tours minutes sur le moment…. mais quel bonheur ensuite !!!!! Ca valait le coup ! ✨🌟🏝
J’espère à tous les lecteurs de cet article autant de bonheur : tenez bon, et cheminez jour après jour !
Très beau témoignage Valérie, merci pour ton partage ! 🙂
Le changement peut être radical comme très doux. J’ai remarqué dans des interviews que ça peut être radical du fait d’un mal bol général et d’un besoin de passer à l’action tout comme ça peut être très méticuleux. À chacun son style, c’est chouette d’avoir atteint le bonheur après ton passage à l’action 😁
Ton message est bien passé, « cheminez jour après jour » 🙂